J’aime intensément cette série de tableaux,
ils s’imposent à notre regard, intrusifs et lumineux,
ils se regardent comme par envoutement, dans une relation étroite et presque intime avec notre pensée,
ils s’écoutent comme des valses lentes de Chopin, des gymnopédies de Satie ou des suites au violoncelle de Bach,
paisibles et forts, les textes additionnels s’intègrent aux images, nous invectivent et nous accueillent avec une bienveillance attirante.
Un moment recueilli et profond comme j’imagine une prière que je ne connais pas.